Electre (2005)

de Sophocle

La tragédie antique comme angoisse de salon, un chœur d’érinyes qui insuffle l’amertume et le meurtre dans l’esprit d’une Electre égarée, tyrannisée par une mère odieuse et bientôt dépassée par la vengeance brutale du frère qu’elle espérait tant… Pour cette production, jouée une trentaine de fois, nous avons procédé à une retraduction intégrale du texte en collaboration avec Odile Cornuz et Matteo Capponi, et accompagné le tout par deux contrebasses.

Jeu

Jean-Jacques Chep, Aline Gampert, Mélodie Martenet, Jonas Richiardi, Margarita Sanchez, Mathieu Ziegler
et
Lionel Baud (contrebasse), Julien Rouvinez (contrebasse)